Arnegonde der Franken
- Geboren: Omstr 513, Thuringia, DU
- Huwelijk (1): Clotaire I der Franken in 531
- Overleden: 15 Aug 587 ongeveer 74 jaar oud
Arnegonde was ook bekend als Radegonda; Arnegundis.
Algemene notities:
vijfde vrouw van Clotaire, zuster van Ingunde, zijn vierde vrouw, we weten weinig van haar behalve dat Gregorius van Tours haar Aregonde noemde, echter in 1959 ontdekte men een sarcophaag in de basiliek van St. Dénis, hoogst waarschijnlijk van een echtgenote van Clotaire, die de naam Arnegonde droeg, overigens had Clotaire acht vrouwen.
haar graf werd tijdens opgravingen(1952-1954, 1957 en volgende jaren) onder de kerk van Saint-Denis, ten noorden van Parijs, met merkwaardige kunstschatten.
Au début du VIe siècle </wiki/VIe_si%C3%A8cle>, le royaume franc était troublé. Le roi de Neustrie </wiki/Neustrie>, Childeric, dut fuir en Thuringe </wiki/Thuringe>. Il fut accueilli par le roi Basin </wiki/Basin_de_Thuringe> et la reine Basine </wiki/Basine>. Quand les troubles en Neustrie furent apaisées, il y revint. ° la mort de Basin, le royaume de Thuringe fut partagé entre ses trois fils: Bodevie </w/index.php?title=Bodevie&action=edit>, Hermanfried </w/index.php?title=Hermanfried&action=edit> et Berthaire </w/index.php?title=Berthaire&action=edit>. Il s'ensuivit une guerre fratricide. Basine fuit alors en Neustrie auprès de Childeric. Ils s'épousèrent et eurent un fils: Clovis </wiki/Clovis_Ier>. Berthaire eut deux enfants, dont Radegonde en 519 </wiki/519>, qui est donc la nièce de Clovis. Berthaire fut assassiné par ses deux frères. Bodevie fut ensuite aussi victime d'une coalition entre Hermanfried et le roi de Metz </wiki/Metz>, Thierry. Radegonde fut emmenée à l'âge de trois ans à la cour de Hermandfried. Mais Thierry, exigeant une partie du royaume de Thuringe en échange de son soutien, forma une alliance avec Clotaire. Ils vainquirent l'armée thuringeoise. Radegonde devint à cinq ans la prisonnière de Clotaire. Elle fut emmenée en France, à Saint-Quentin </wiki/Saint-Quentin>, puis à Athies-en-Vermandois </w/index.php?title=Athies-en-Vermandois&action=edit>. L'épouse de Clotaire, Ingonde </wiki/Ingonde>, donna à Radegonde une éducation très religieuse. Igonde mourut en 538 </wiki/538>. Clotaire voulut alors épouser Radegonde à Vitry-en-Artois </wiki/Vitry-en-Artois>. Celle-ci tenta d'abord de s'enfuir dans les alentours de Péronne </wiki/P%C3%A9ronne_%28Somme%29>. Rattrapée, elle dut se résoudre à la cérémonie, présidée par l'évêque saint Médard, à Soissons </wiki/Soissons>. Radegonde se détache de plus en plus des préoccupations mondaines pour mener une vie pieuse et charitable auprès des pauvres. Après que Clotaire eut massacré son frère, elle fut de plus en plus attirée par une vie de prière, alors que Clotaire la voulait toujours comme épouse et comme reine. Consacrée diaconesse par saint Médard, elle fit d'abord un pèlerinage à Tours </wiki/Tours> sur le tombeau de saint Martin. Elle alla ensuite demander conseil à saint Jean de Chinon </wiki/Jean_de_Chinon> qui vivait dans un ermitage troglodyte qui existe toujours au-dessus de la ville. Elle se rendit ensuite sur la terre de Saix </w/index.php?title=Saix_%28Vienne%29&action=edit> que Clotaire lui avait donnée et y fonda un oratoire et un hospice où elle s'occupait elle-même des malades : c'était un des premiers hospices organisé en France. Mais Clotaire, qui avait d'abord accepté la vocation de la reine, change d'avis : il envoie une troupe à Saix pour la ramener à la cour. Lorsque les soldats se sont annoncés en vue de Saix, Radegonde s'enfuit vers le Sud à travers un champ d'avoine que des ouvriers achèvent de semer. C'est alors que se produit le miracle des avoines, la sainte reine fait instantanément pousser l'avoine pour s'y cacher. Questionnés par les poursuivants, les moissonneurs, peuvent affirmer qu'ils n'ont vu personne dans le champ depuis le temps où cette avoine a été semée. ° partir de ce moment, Clotaire lui laisse suivre son chemin vers une vie consacrée à la religion. Elle alla à Poitiers </wiki/Poitiers> où elle fonda le monastère Notre-Dame (devenu depuis Sainte-Croix). Le 25 octobre </wiki/25_octobre> 552 </wiki/552> (ou 553 </wiki/553>), elle entra dans le monastère Notre-Dame accompagnée de nombreuses jeunes filles, en présence d'une grande foule. Elle donna à ses compagnes une règle stricte. Avec Agnès </wiki/Agn%C3%A8s_de_Poitiers>, sa sœur spirituelle qu'elle tint à choisir comme future abbesse, et Venance Fortunat </wiki/Venance_Fortunat>, poète italien qui deviendra le biographe de Radegonde, elle alla en Arles pour se renseigner sur la règle de saint Césaire et l'adopter. Elle se plaça sous la protection du Saint-Siège, pour être libre du pouvoir épiscopal. Agnès devint abbesse du monastère. Venance Fortunat devint évêque de Poitiers. D'après une autre biographie, celle de Baudinovie </w/index.php?title=Baudinovie&action=edit>, elle avait une grande vénération pour les reliques. Elle en rassembla un grand nombre qui seraient toujours au monastère Sainte-Croix, dont un fragment de la croix du Christ, qu'elle avait demandé et obtenu auprès de l'empereur Justin II </wiki/Justin_II>. C'est à l'occasion de l'arrivée à Poitiers de cette insigne relique que saint Venance-Fortunat a composé l'hymne Vexilla regis prodeunt. Radegonde aura le reste de sa vie une grande influence sur les grands de son époque, notamment Sigebert, successeur de Clotaire. Elle mourut le 13 août </wiki/13_ao%C3%BBt> 587 </wiki/587>, à 68 ans, dans le monastère Notre-Dame. Elle fut enterrée dans l'église Sainte-Marie-hors-les-murs (aujourd'hui Sainte-Radegone) à Poitiers. Pendant les invasions normandes, sa dépouille fut emmenée à Saint-Benoît-de-Quincay </w/index.php?title=Saint-Beno%C3%AEt-de-Quincay&action=edit>, puis ramenée à Poitiers en 868 </wiki/868>. De nombreux miracles lui sont attribués, ce qui attira de nombreux pèlerins. Elle fut déclarée sainte peu de temps après sa mort.
objet multimedia: jpg D: Vitrail poitevin représentant la reine Radegonde 558
Vermeldenswaardige gegevens:
• Beroep: koningin der Franken 558-561.
Arnegonde trouwde met Clotaire I der Franken, zoon van Chlodovech I (Clovis I) de Grote der Franken en Clothilde van Bourgondië, in 531. (Clotaire I der Franken werd geboren in 497 in Rheims, Marne, Loire-Atlantique, FR en overleed op 23 Nov 561 in Soissons, Braines, Loire Atlantique, FR.)
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